::+:: Le Dieu unique et pas très catholique du pape François

Le pape François a un ami. Un grand ami, athée, gauchiste patenté. A qui il aime téléphoner pour se confier, lui faire part de ses projets, de sa vision de l’homme, du monde, de Dieu.
Cet ami, qui se dit « privilégié par l’amitié de François », c’est Eugenio Scalfari, le fondateur d’un des grands journaux de la gauche italienne, La Republic.
Leur duo marche à merveille depuis le début de ce pontificat : l’un téléphone, lance ses petites bombes révolutionnaires, l’autre écrit, retranscrit pour le monde, choque ainsi le sensus fideï du petit reste catholique…le buzz se fait sur Internet et la pensée du pape se répand sur «la maison commune» ! Il faut bien parfois que le service de presse du Vatican, à travers le Père Lombardi, rectifie le tir face à des propos par trop révolutionnaires, en rassurant le pauvre troupeau et rejetant la faute sur le seul Scalfari qui réinterpréterait à sa manière ces conversations répétées avec Bergoglio. Mais toujours le pape le reprend comme confident tél…
Cet ami, qui se dit « privilégié par l’amitié de François », c’est Eugenio Scalfari, le fondateur d’un des grands journaux de la gauche italienne, La Republic.
Leur duo marche à merveille depuis le début de ce pontificat : l’un téléphone, lance ses petites bombes révolutionnaires, l’autre écrit, retranscrit pour le monde, choque ainsi le sensus fideï du petit reste catholique…le buzz se fait sur Internet et la pensée du pape se répand sur «la maison commune» ! Il faut bien parfois que le service de presse du Vatican, à travers le Père Lombardi, rectifie le tir face à des propos par trop révolutionnaires, en rassurant le pauvre troupeau et rejetant la faute sur le seul Scalfari qui réinterpréterait à sa manière ces conversations répétées avec Bergoglio. Mais toujours le pape le reprend comme confident tél…